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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 12:46

Qu’est ce que la micro-finance ?

 

BIT: La micro-finance désigne l’ensemble des services financiers para-bancaires (prêt, garantie, prise de participation), de faible montant (inférieurs à 15.000 €) et destinés aux «exclus» des banques commerciales (chômeurs, TPE, inactifs, minorités, travailleurs pauvres, projets collectifs).

 

OCDE: La micro-finance vise l’accès au financement de petits projets, portés par des personnes marginalisées qui aspirent à créer leur propre emploi, souvent par défaut d’autres perspectives professionnelles et parce que l’accès aux sources traditionnelles leur est refusé.

 

Qu’est ce que le micro-crédit

 

EU WG (the Working Group on Microcredit): Dans le programme pluriannuel (MAP 2001- 2005) pour l’entreprise et l’entrepreneuriat, en particulier les PMEs, le micro-crédit est défini comme une sphère où le creux du marché doit être comblé en encourageant les institutions financières à jouer un rôle plus important6. Le groupe de travail chargé du micro-crédit a souhaité limiter son investigation aux prêts inférieurs à 25.000 €, ainsi qu’aux mécanismes de garantie adjacents, visant les nouvelles entreprises ou les entreprises existantes gérées par des entrepreneurs finançables, dans une perspective de politique de l’entreprise, tout ceci, même si «des références au crédit social doivent utilement être faites».

Mais Que l’on parle de micro-finance ou de micro-crédit, il s’agit toujours d’une pratique qui, partant de l’acte financier, déborde plus ou moins largement sur son contexte, son environnement.

La pratique du crédit par exemple s’accompagnera d’autres outils financiers (garanties, fiscalité, …) et non-financiers (accompagnement, conseil, parrainage, …).

 

Le montant maximum d’un micro-crédit a été fixé pour répondre à des objectifs de politique économique liés à l’entrepreneuriat. Ce plafond est généralement celui que pratiquent les opérateurs de micro-crédit institutionnels. Les pratiques associatives ou coopératives situent le micro-crédit dans une fourchette de 1.000 à 15.000 €.

 

L’objectif

• L’objectif est toujours de rencontrer un problème lié au fonctionnement inéquitable du marché sans renforcer cette iniquité. En cela, le micro-crédit et la micro-finance poursuivent toujours un objectif de justice sociale. Il est permis d’affirmer qu’il n’y a pas de programme de micro-finance sans projet social.

• La qualification du problème rencontré peut varier: l’accès ou  l’exclusion, l’adaptation du public, l’impossibilité technique pour l’opérateur financier de rencontrer la demande…

 

Le public de la micro finance

Selon la commission européenne, on distingue entre :

-          Le micro-crédit entrepreneurial s’adressant à «toutes les micro-entreprises», de préférence à potentiel de croissance élevé ;

-          Le micro-crédit social s’adressant aux allocataires sociaux pour les «sortir de l’inactivité».

En général, Le public-cible est toujours la très petite activité, tantôt l’indépendant, tantôt la très petite entreprise, tantôt l’activité sociale, caritative ou locale. Des accents peuvent parfois être mis sur certaines caractéristiques sociales de l’entrepreneur.

Mais aucune définition ne limite la micro-finance ou le micro-crédit aux starters. Les concepteurs du microcrédit faisaient d’ailleurs de la progressivité un élément- clé du micro-crédit.

 

Le micro-crédit est une pratique, plus qu’un outil financier. Le micro-crédit est un petit prêt, La durée de remboursement est relativement courte ; Les fonds propres ne sont pas obligatoires, Pas d’appel aux garanties, mais recours à la solidarité.

Décidément, le micro-crédit fait tout à l’envers. Ou plutôt: le micro-crédit est une pratique financière et non un cadre de contraintes techniques. Or, les contraintes ont quelque chose d’utile: elles fixent un cadre dans lequel on est sûr de ne pas faire d’erreur. Dès qu’on supprime le cadre, les possibilités de se tromper se multiplient.

Etre un professionnel du micro-crédit, c’est être capable de dépasser les contraintes habituelles et d’inventer de nouvelles balises. Offrir une chance d’insertion par l’économique à des publics généralement exclus, c’est innover en permanence, chercher des solutions tenables et surtout faire preuve d’une rigueur extrême pour palier à l’absence de cadre trop contraignant. Mais supprimer les contraintes ne veut pas dire en oublier les raisons.

Enfin, être un opérateur de micro-crédit, c’est travailler en partenariat. La structure d’appui au montage de la demande de crédit réalise un travail indispensable aux analystes financiers. Le prescripteur qui envoie des porteurs de projet vers une structure d’appui doit comprendre parfaitement le rôle qu’il tient dans le partenariat.

 

Facteurs incitants à micro entreprendre :

 

L’envie d’entreprendre (envie déterminée par des facteurs de niveaux macro, méso ou individuel) et l’envie de le faire à petite échelle. La nature de l’activité, la volonté de minimiser les risques, la possibilité de combiner efficacement vie professionnelle et vie privée, les moyens financiers disponibles,... peuvent être à la base de la décision d’opter pour une micro-entreprise. Le micro-crédit donne accès au financement du projet, ce que ne font (presque) jamais les institutions bancaires ordinaires.

La motivation des personnes à entreprendre ainsi que leurs raisons et la liberté de choix pour entreprendre à petite échelle peuvent donc varier sensiblement. En ce qui concerne l’accompagnement de ces candidats-entrepreneurs, il apparaît donc que les compétences en matière de feeling sont extrêmement importantes pour ces différents éléments qui font de la micro-entreprise la taille de projet la plus appropriée.

 

 

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 23:58

نسيان أمر ما صعود نحو باب الهاوية
ها أنذا أنسى نهاياتي
وأصعد ثم اهبط..ثم
اصعد ثم اهبط
اين يمتحن الصواب ؟
هل في الصعود أم النزول، أم في الوصول الى نهايات الطريق المفرحة؟!
وإذا صعدت فكيف أرفع فكرة أو اغنية؟
...
هي أغنية

...........

وعلي أن أنسى البداية كي أسير إلى البداية واثقا مني ومنها
..............

هل كان معيار الحقيقة دائما سيفا لأخفي فكرتي مذ طار سيفي؟

..........
دافعت عما لا أراه، ولن أراه، وعن سرير العاشقة
دافعت عن شجر سيشنقني إذا ما عدت من لغتي إليه
دافعت عن حجر
سيخفي برق آثاري ونايات للرعاة السابقين
دافعت عما كان لي ويفر مني حين توقظه يداي
دافعت عما ليس لي. وسأستطيع إذا استطعت سأستطيع
أن أرجع الماضي إلى
ماضيه، أن أستل موعظة الجبل
ممن رآني سائرا متسائلا بين الضحايا و الشهود

....

أهناك ما يكفي من النسيان كي أنسى.. وأنسى
أنسى
لأبتكر البداية من نهاية ما انتهى فينا. كسرت الدائرة
وكسرت نفسي كي أرى نفسي تدل على انتباه الأجنحة
وعلي أحيانا، أنطعم خيلنا لغة، أنسرجها الكتابة؟
من ليس منا صار منا. افتحوا باب الحدائق في قيودي
يخرج إليكم ما أريد من الكلام،وما أريد من اليمام:


....

في قوتي ضعف الممر وفي انكساري قوة المعنى

.....

هل نستطيع العيش أكثر ما استطعنا كين رى ذهب الكلام
خبزا وفاكهة؟ "أسأت إليك يا شعبي" أسأت كما أساء الحب لي
وأصبت طفلا بالأغاني حين قدست المعاني وحدها
وتركت سكان القصيدة في مخيمهم يعدون الهواء على الأصابع.

كم من أخ لك لم تلده الأم يولد من شظاياك الصغيرة؟
كم من عدو غامض ولدته أمك يفصل الآن الظهيرة عن دمك؟

"أأسأت ياشعبي إليك" كما أساء إلي آدم؟
ما أضيق الأرض التي لا أرض فيها للحنين إلى
أحد!
***************************
يستدرجونك، فانتظرهم خارج الأشياء. كن شبحا. وكن
شبحا، ولاتخلع قناعك عن دروعك. كن شبح
شبح البداية والنهاية والمدى، أنت المدى. هي أغنية


قطعوا يدي وطالبوني أن أدافع عن حلب
واستأصلوا مني خطاي وطالبوني أن أسير إلى صلاة الغائبين
أشعلت معجزتي وسرت، فحاصروني، حاصروني،حاصروني
قالوا: انتظر، فنظرت. [لا تكسر موازين الرياح مع العدو]
ووقفت. قالوا: لاتقف. فمشيت ثانية، فقالوا: لا تسر
[الحرب فر. لا تحارب
خارج الكلمات] قلت: من العدو؟
[إرفع شعارك وانتظره. واعتذر عما فعل]
ماذا فعلت؟ [بحثت وحدك
عن خطاك ولم تبلغ سيدك]
من سيدي؟ قالوا: [الشعار على الجدار] فقلت: لا
لا سيد إلا دمي المحروق في جسدي يفتش عن يدي
لتدق بوابات هذا الليل. لا. لا سيد إلا دمي. هي أغن



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8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 12:54

 

A. TEST - STYLE DE COMMUNICATION

 

Choisissez dans chaque couple de propositions, la proposition qui correspond le mieux à votre personnalité. Faites votre choix le plus spontanément possible.

Il n'y a pas de mauvaise réponse.

 

 

1

J'aime l'action

2

Je traite les problèmes méthodiquement

 

3

Je pense qu'il est plus efficace de travailler en équipe que tout seul

4

J'aime beaucoup la nouveauté

 

5

Je m'intéresse davantage à l'avenir qu'au passé

6

J'aime travailler avec d'autres personnes

 

7

J'aime assister à des réunions de groupe bien organisées

8

J'attache une grande importance aux délais

 

9

Je ne supporte pas de remettre à demain ce que je peux faire aujourd'hui

10

Je pense que les idées nouvelles doivent être expérimentées avant d'être appliquées

 

11

J'aime l'émulation que créent les rapports avec d'autres collègues

12

Je suis toujours à la recherche de nouvelles possibilités

 

13

Je tiens à me fixer mes propres objectifs

14

Lorsque j'entreprends une tâche, j'aime la mener à son terme

 

15

J'essaie le plus possible de comprendre les émotions des gens

16

Lorsque je suis en désaccord avec mon entourage, je n'hésite pas à le faire savoir

 

 

17

J'aime recevoir des appréciations sur mon travail

18

Je trouve la méthode du "pas à pas" très efficace

 

19

Je pense que je perçois assez bien la psychologie des gens

20

J'aime la recherche de solutions créatives aux problèmes

 

21

Je fais constamment des extrapolations et des projections

22

Je suis sensible aux besoins des autres

 

23

La planification est la clé du succès

24

Je m'impatiente lorsque des délibérations durent longtemps

 

 

 

25

Je sais rester calme sous la pression

26

J'attache une grande valeur à l'expérience

 

27

J'aime les gens

28

On dit que j'ai l'esprit vif

 

29

J'attache une place capitale à la coopération

30

Je fais appel à la logique pour juger de différentes possibilités

 

31

J'aime mener plusieurs travaux de front

32

Je me pose toujours des questions

 

33

J'apprends par expérience

34

Je pense savoir rester maître de mes émotions

 

35

Je sais prévoir les réactions éventuelles à une certaine décision

36

Je n'aime pas les délais

 

37

L'analyse doit toujours précéder l'action

38

Je suis capable de juger de l'ambiance qui règne au sein d'un groupe

 

39

J'ai tendance à commencer un travail et à ne pas le terminer

40

Je trouve que je suis capable de prendre une décision

 

41

Je recherche les tâches difficiles

42

Je compte beaucoup sur l'observation et sur les données

 

43

Je suis capable d'exprimer franchement mes sentiments

44

J'aime concevoir de nouveaux projets

 

45

J'aime beaucoup lire

46

Je crois pouvoir mettre de l'huile dans les rouages pour que ça marche

 

47

J'aime avoir à m'occuper d'une seule question à la fois

48

J'aime obtenir des résultats

 

49

Je suis heureux d'apprendre à mieux connaître d'autres personnes

50

J'aime la vérité

 

51

Les faits parlent d'eux-mêmes

52

J'utilise le plus possible mon imagination

 

53

Les travaux de longue haleine me rendent impatient

54

Mon esprit est toujours en activité

 

55

Les grandes décisions doivent être prises avec prudence

56

Je crois fermement que la collaboration s'impose pour l'exécution d'un travail

 

57

En général, je prends des décisions sans trop réfléchir

58

Les émotions sont source de problèmes

 

59

J'aime avoir l'affection de mes collègues

60

Je vois tout de suite les liens logiques

 

61

J'essaie mes idées nouvelles sur d'autres personnes

62

Je crois aux méthodes de travail rigoureuses

 

63

J'aime que les choses se fassent

64

Les bonnes relations sont indispensables

 

65

Je suis impulsif

66

J'accepte que les gens soient différents les uns des autres

 

67

La communication est une fin en soi

68

J'aime l'émulation intellectuelle

 

69

J'aime m'organiser

70

Je saute souvent d'une tâche à l'autre

 

71

Parler et travailler avec des gens, c'est créateur

72

Il est important de s'affirmer

 

73

J'aime jouer avec les idées

74

Je n'aime pas perdre mon temps

 

75

J'aime faire ce que je sais bien faire

76

J'apprends au contact des autres

 

77

Je trouve les principes abstraits intéressants et plaisants

78

J'ai de la patience pour m'occuper des détails

 

79

J'aime les déclarations brèves, qui vont droit au but

80

J'ai confiance en moi

 

 

B. ANALYSE DES RÉSULTATS

Dans le tableau suivant, encerclez les numéros correspondant aux propositions que vous avez choisies et comptez- les .

Le maximum est de 20 caractéristiques par style et votre total pour les 4 styles doit être de 40.

 

 

STYLE 1

STYLE 2

STYLE 3

STYLE 4

 

 

1

2

3

4

 

 

8

7

6

5

 

 

9

10

11

12

 

 

13

14

15

16

 

 

17

18

19

20

 

 

24

23

22

21

 

 

26

25

27

28

 

 

31

30

29

32

 

 

33

34

35

36

 

 

40

37

38

39

 

 

41

42

43

44

 

 

48

47

46

45

 

 

50

51

49

52

 

 

53

55

56

54

 

 

57

58

59

60

 

 

63

62

64

61

 

 

65

66

67

68

 

 

70

69

71

72

 

 

74

75

76

73

 

 

79

78

80

77

 

TOTAL/

STYLE

 

 

 

 

 

40

 

 

 


DIAGRAMME DE MES STYLES DE COMMUNICATION

 

Noircir autant de cases que de points obtenus pour chaque style (en commençant par le bas)

 

 

20

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

15

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

10

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

5

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1

 

 

 

 

 

STYLE 1

STYLE 2

STYLE 3

STYLE 4

 


C. EXPLOITATION DES RÉSULTATS

 

Quatre systèmes de valeurs ont été utilisés pour construire cet auto-diagnostic des styles de communication.

Deux hypothèses sous-tendent cette analyse :

a)      On trouve ces 4 systèmes de valeurs dans toutes les cultures et les sociétés et dans tout individu

b)     Ces valeurs influencent nos modes de communication

 

STYLE 1 est celui  des gens de l'ACTION. Les personnes qui tendent vers ce style  aiment l'action, la réussite, les tâches à accomplir, la progression, la résolution de problèmes.

 

STYLE 2 est celui des gens de MÉTHODES. Ils aiment les faits, l'organisation, la structuration, les stratégies, les tactiques.

 

STYLE 3 est celui des gens qui se rapprochent des HOMMES Ils aiment les problèmes de société, les interactions, la communication,, le travail de groupe, la motivation, les systèmes sociaux

 

STYLE 4 est celui des gens d'IDÉES. Ils aiment les concepts, les théories, les échanges d'idées, l'innovation, la créativité, la nouveauté.

 

 

NB . IL N'Y A PAS DE STYLE MEILLEUR QUE L'AUTRE.


D. TABLEAU DES PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DES 4 STYLES DE COMMUNICATION.

 

 

 

 

Ils parlent de

 

Ils sont

 

 

STYLE 1 :

 

Ils sont tournés vers l'ACTION

 

-          Résultats

-          Objectifs

-          Performance

-          Productivité

-          Efficacité

-          Progrès

-          Décisions

 

 

-          Responsabilité

-          Réalisation

-          Rétroaction

-          Défis

-          Expérience

-          Changement

 

 

-          Pragmatiques (terre à terre)

-          Directs (droit au but)

-          Impatients

-          Décidés

-          Rapides (passant d'une idée à l'autre)

-          Énergiques et "défiants"

 

STYLE 2 :

 

Ils sont tournés vers les MÉTHODES

 

 

 

-          Faits

-          Procédés

-          Planification

-          Contrôle

-          Essais

 

 

-          Mise à l'épreuve

-          Analyse

-          Preuve

-          Détails

-          observation

 

-          Systématiques (pas à pas)

-          Logiques (causes et effets)

-          Concrets

-          Verbeux

-          Peu émotifs

-          Prudents

-          Patients

 

 

 

STYLE 3 :

 

Ils sont orientés vers les HOMMES

 

-          Gens

-          Besoins

-          Travail d'équipe

-          Communications

-          Esprit d'équipe

-          Compréhension

-          Aspirations

-          Relations

 

 

-          Épanouissement

-          Sensibilité

-          Prise de conscience

-          Coopération

-          Valeurs

-          Croyances

 

 

-          Spontanés

-          Compréhensifs

-          Chaleureux

-          Subjectifs

-          Émotifs

-          Perspicaces

-          Sensibles

 

 

STYLE 4 : Ils sont tournés vers les IDÉES

 

-          Concepts

-          Innovations

-          Créativité

-          Occasions

-          Possibilité

-          Grands desseins

-          Problèmes

 

-          Nouveautés dans leur domaine

-          Interdépendance

-          Nouvelles méthodes

-          Perspectives

-          Solutions de rechange

 

 

-          Imaginatifs

-          Charismatiques

-          Difficiles à comprendre

-          Égocentriques

-          Irréalistes

-          Créateurs

-          Plein d'idées

-          Provocants

 

 

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 22:28

 

locality

locality

Works

Accommodation

period

ACJ1

My Driss Zérhoune

It’s a little village,30 km from Meknes and 60 km from Fes in the middle of Morocco. It’ takes its name from the mountain on which is situated the village.

The village is known by the Roman town VOLIBULIS .The village is  owned a rich historical, cultural and natural patrimony

Cleaning a Roman swimming pool which is the alone place for the kids of the village to swim.

In lycee

From :25/6 to 9/7/2010.

ACJ2

Béni Mellal

It’s located under the mountain’s :Midle Atlas. It’s an agriculture region with irrigate way. It cultures olives and sugar beet. The population :50 000 inhabitants, around Benimellal a lot of  Berber villages. It owned a rich natural patrimony.

From this region a lot of immigrants to Italy and spain

maintaining the garden in  Lycee ALAMRIA

In lycée

From :17/7 to 30/7 /2010.

ACJ3

Al houssaima

:  it’s a little town in the north of Morocco, it’s situated between the RIF mountains and  the Mediterranean sea Alhoceima is known by its wonderful beaches and its rich natural patrimonies.

Drawing in a school

In school

From 15/7 to 30 /7/2010

ACJ4 et ACJ5

Salé

Salé was a corsair town ,it’s 2 km from the capital Rabat ,on the Atlantic, they are separated by the river Bouregreg.Salé is known the old town ,traditional markets and corsair locals..    

this year we organised two workcamps in Salé   some works of maintaining in school. preparing an aria  to do a garden in school.

In school

From :17/7 to 30/7 /2010. and From 26/7 to 8/8/2010

ACJ6

Bouznika

a coster town on the Atlantic ,40 km in south of Casablanca and 30 km in the north of Rabat.

Gardening and some different works in a Lycee.

 

In lycée

From 24/7 to 6/8/2010.

ACJ7

Bouznika

a coster town on the Atlantic ,40 km in south of Casablanca and 30 km in the north of Rabat

The volunteers have to dothe following work:foreign language courses:French and English+painting :fresks+participing to cleaning the beach.

 

in school

From 04/7/ to 18/7/2010

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 00:11

 

Le plan de communication est un outil de management qui permet à partir des objectifs stratégiques de l’association, de définir les actions de communication à mettre en place pour les atteindre.

Il fixe les objectifs de communication, définit les cibles et les messages, détermine les actions à engager, établit le calendrier et le budget, il sert également à guider et à rendre cohérent le travail de chacune des équipes de l’entreprise.

 

1)      Rôle et objectifs du plan de communication :

 

Le rôle du plan de communication est de définir les cibles et objectifs à atteindre, déterminer différents moyens à mettre en œuvre pour chacun de ces objectifs, préciser les responsabilités des différents acteurs, fixer le calendrier et les dates importantes, budgétiser chacune des opérations du plan de communication.

Le plan sert également à guider et à rendre cohérent le travail de chacune des équipes  impliquées dans le plan de communication.

 

 Une communication réussie est le résultat de l’ensemble des actions qui convergent vers le même but, une bonne stratégie de communication associe donc différents vecteurs.

 

2)      Les différents types de plans de communication :

 

a)      selon la nature du plan de communication :

−       Plan globale de communication, il intègre les principaux éléments de toutes les composantes de la communication globale : communication interne, communication institutionnelle, relations avec les medias, relations avec les pouvoirs publics, communication financière.

−       Plan de communication spécifiques de chacune des composantes du plan globale : communication interne, communication institutionnelle, relations avec les medias…etc.

−       Plans de section, conçus à partir du plan globale de communication mais en prenant en compte les objectifs propres à l’activité ou à la structure.

−       Plan spécifique lié à un événement précis : lancement d’un projet, acquisition, situation de crise…

 

b)     selon les dimensions géographique : il peut s’agir d’un plan de communication qui vise un seul pays une région, une ville ou il peut être un plan international. Les moyens utilisés  diffèrent selon  le plan choisi.

 

c)      selon la période couverte :

Le plan de communication de l’association est souvent établit à long terme car il nécessite la durée pour réussir, il est souvent annuel cependant certains objectifs ou certains programmes font l’objet de plans glissants, couvrant des périodes plus longues.

 

 

 

 

 

On peut résumer les objectifs du plan de communication en soulignant cinq types d’objectifs :

  • Une communication institutionnelle dont le sujet du discours est l’organisation elle-même
  • Une communication marketing qui s’adresse au consommateur (b-to-c) dont le sujet peut porter sur les valeurs, les activités, les événements.
  • Une communication b-to-b dont la cible est les autres organisations.
  • Une communication interne qui s’adresse aux adhérents.
  • Une communication financière qui s’intéresse aux bailleurs et aux milieux financiers.

 

3)      Conception du plan de communication :

 

Un plan de communication doit répondre aux principales questions suivantes :

 

  • Pourquoi ?                                 objectifs stratégiques de l’émetteur
  • Dire quoi ?                                 objectifs communication et messages clés
  • A qui ?                                       destinataires
  • Par qui ?                                     acteurs de la communication
  • Comment ?                                moyens à utiliser
  • Quand ?                                     calendrier
  • A quel coût ?                             moyens humais et budgétaires nécessaires
  • Selon quels critères ?                 indicateurs de résultats fixés

 

 

a-      définir les objectifs de la stratégie de communication :

A partir des objectifs stratégiques de l’émetteur il faut établir un diagnostic qui permettra de définir la stratégie et les objectifs de communication qui contribueront à atteindre les objectifs stratégiques de l’organisation. La méthode qui est couramment utilisée consiste à analyser et à confronter quatre facteurs clés : image voulue, image possible, image projetée, image perçue.

Ces démarches peuvent s’appliquer dans toutes les situations de communication : plan global de communication, plan de section, plan d’un domaine spécifique de communication.

On peut définir trois types d’objectifs pour la stratégie de communication de l’émetteur :

 

Les objectifs cognitifs (FAIRE-SAVOIR) c’est la transmission d’un message afin de développer une certaine connaissance.

Les objectifs cognitifs sont utilisés dans les stratégies de communication afin de développer la notoriété.

Les objectifs affectifs (FAIRE-AIMER) les principaux objectifs affectifs sont l’amélioration de l’image de l’organisme, des valeurs portées, du service ou de la cause dans le but de faire aimer par les cibles de la communication  les différents produits de l’organisme.

Les objectifs conatifs (FAIRE-AGIR) ce sont les objectifs comportementaux, ils sont considérés comme très difficiles à atteindre, pourtant agir sur les comportements et les modifier est fondamental pour obtenir une augmentation des adhérents ou le champs d’action.

Les objectifs cognitifs et affectifs sont souvent des étapes intermédiaires indispensables pour atteindre un objectif conatif.

 

Image voulue : stratégie de communication, l’image voulue est la définition de la stratégie  et des objectifs de communication établis à partir des objectifs stratégiques de l’émetteur.

 

Image possible : analyse du contexte environnant, analyser l’environnement dans lequel va s’inscrire le plan de communication se révèle fondamental pour redéfinir l’image voulue en image possible.

 

Image projetée : connue grâce a l’audit de la communication de l’organisation, toute analyse d’un plan de communication doit faire l’objet d’un audit, il s’agit de passer en revue chaque action, chaque support de communication. Cet audit doit de préférence, être réalisé par un conseil extérieur afin de conserver un minimum d’objectivité.

 

Image perçue par les destinataires : au final, la seule chose qui compte, ce n’est pas ce qui est souhaité, dit ou fait, mais la perception qu’en ont les différents acteurs. Il faut donc évaluer et mesurer cette perception par des études objectives.

 

b- Déterminer les destinataires de la communication : toute organisme, quelque soit sa nature a trois cibles prioritaires :

 

−       Son personnel, qui doit être  toujours  pris en compte dans la communication.

−       Ses partenaires (cibles).

−       Les bailleurs, c’est-à-dire ceux qui financent les activités et le développement de l’organisation.

 

c- Le mix de communication :

Le choix des moyens du plan de communication repose sur deux critères :

 

- Quels sont les techniques et les supports qui établiront le mieux la communication avec chaque cible sélectionnée ?

- Quel est le meilleur rapport coût/efficacité de ces techniques et supports ?

 

 

  • Les techniques de communication globale :

−       Les relations avec la presse.

−       Les publications : rapport annuel, les brochures

−       La publicité media, message diffusé dans les mass media comme la radio la presse, la télévision, affichage.

−       La communication directe

−       La communication par l’événement

−       Les relations publiques

−       Internet et moyen de communication électronique

−       L’identité visuelle, logo, papier à lettre, enveloppes, cartes de visites, documentations techniques, façade et bâtiments.

d- Planifier les actions de la stratégie de communication :

 

Nous distinguons deux étapes importantes dans la planification de la stratégie de communication :

−       Fixer les dates de mise en œuvre des actions, les événements ou réalisations projetées.

−       Déterminer le planning de travail pour préparer les différentes étapes qui conduiront à ce que tout soit prêt pour les dates fixées.

 

Les dates de mise en œuvre des actions de communication dépendent des objectifs et des contraintes propres à la stratégie mais aussi des événements extérieurs (grandes manifestations prévues politique, économiques, sportives et culturelles.).

Quelque ce soit la méthode adoptée dans la planification, le principe de base repose sur les principaux points suivants :

−       Identifier les différentes actions à réaliser

−       Fixer pour chacune d’elle les dates jalons

−       Dresser le calendrier a rebours (rétroplaning) des différentes étapes pour arriver à cette date (prévoir des fourchettes de temps, avec des marges de sécurité)

−       Identifier les liens entre les actions

−       Construire le planning global.

 

 

 

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4 mai 2010 2 04 /05 /mai /2010 23:38
Amsterdam

by Jacques Brel

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça sent la morue
Jusque dans le cœur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D'un accordéon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'à ce que tout à coup
L'accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu'en pleine lumière

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d'Amsterdam
De Hambourg ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam.

 

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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 12:27

Il est utile de rappeler que la communication sociale, sociétale ou d’intérêt public, peut revêtir l’une des formes suivantes :

 

  1. Elle peut être comportementale, se consacrant à l’amélioration des habitudes individuelles et collectives. Dans ce cas, son objet sera de sensibiliser les citoyens afin de faire évoluer leurs comportements en matière de santé, de sécurité, d’environnement (vaccination, maîtrise de l’énergie…).

 

  1. Elle peut être informative en cela qu’elle présente les éléments nouveaux d’information concernant les droits et obligations des citoyens (délais pour le paiement des impôts, nouvelles dispositions en matière de sécurité sociale...). Elle peut également s’attacher à expliquer l’action gouvernementale dans des domaines tels que l’emploi, l’investissement, etc.

 

  1. Enfin, elle peut être promotionnelle, c’est-à-dire qu’elle vise à promouvoir des produits d’organismes publics ou des services de l’Etat : ex. emprunt national, carnet d’épargne, code postal, etc.

 

Objectif ultime de la communication d’intérêt public :

La finalité de la communication sociale (ou sociétale) demeure le bien être commun, le mieux vivre bien partagé, la paix et la justice sociale.

Promouvoir de nouveaux comportements peut inclure aussi bien des idées (cessez de fumer, triez sélectivement les déchets) que des produits ou des pratiques (préservatifs, casques pour les vélomoteurs).

L’autre spécificité de la communication sociale, c’est qu’elle concerne moins souvent le grand public que des groupes-cibles partageant des valeurs communes ou des risques particuliers.

Il existe de nombreuses similitudes entre le marketing commercial ou marchand et le marketing social. D’une part, chacune d’elles repose sur l’écoute et l’anticipation. D’autre part, en fonction du produit ou du comportement à promouvoir, l’une et l’autre se doivent d’apporter les modulations nécessaires aux « quatre P » en s’appuyant prioritairement sur l’un d’entre eux.

Les quatre P sont le produit, le prix, la place (la distribution) et la promotion. Quand l’opération concerne, par exemple, un article de luxe, le paramètre prix ne sera pas le plus important. Quand il s’agit de promouvoir l’usage du préservatif en Tunisie, les enquêtes menées nous apprennent qu’une attention particulière devra être accordée à la distribution.

Le marketing social n’est pas facile : il s’agit bien sûr de "vendre" à quelqu’un ce qui est meilleur pour lui. Mais ce meilleur n’est pas forcément enthousiasmant. Il est certainement plus facile de vendre du Coca Cola que de promouvoir le port du casque pour les cyclomotoristes ; de même l’on aura moins de mal à écouler un stock de cigarettes qu’à promouvoir l’utilisation du préservatif ou à le positionner parmi les gestes-réflexes de l’adolescent et du jeune adulte.

Amener une population donnée à adopter un comportement plus acceptable sur le plan économique, social, sanitaire ou même hygiénique par la seule communication interpersonnelle n’est pas toujours possible. C’est là qu’interviennent les divers relais dont notamment les moyens de communication de masse. 

Connaissances, attitudes et pratiques

Lorsque l’on communique contre les fléaux sociaux, lorsque l’on essaye de transmettre à une population donnée une certaine connaissance dans le but de faire évoluer son attitude, mais également pour l’amener à adopter un certain comportement, les choses paraissent au départ simples. Cependant, très vite l’on s’aperçoit que la nature humaine est complexe et que l’automatisme que l’on imaginait entre l’acquisition d’une connaissance, l’adoption d’une position et l’adhésion au comportement souhaitable, n’existe pour ainsi dire pas. La difficulté se résume par les quatre grands principes suivants

1.    Les personnes ayant de l’intérêt sont celles qui acquièrent le plus d’informations. L’importance de la motivation en ce qui concerne la réussite, ou l’apprentissage a été démontrée de façon constante dans des études théoriques. Pourtant, on a souvent tendance à ignorer le rôle de ce facteur pour les campagnes d’information, au milieu de tout ce que l’on dit sur « l’accroissement du flot d’informations ». Même la plus grande diffusion possible de données peut rester sans effet si celles-ci ne sont pas accordées à l’intérêt du public.

 

  1. Les individus recherchent des informations qui s’accordent à leurs attitudes préalables. Les gens ont tendance à éviter de s’exposer aux informations qui ne s’accordent pas à leurs attitudes antérieures. Le simple fait d’accroître le flot d’informations est insuffisant, si les informations continuent à affluer en direction de ceux qui sont déjà ralliés à vos vues. Il est faux de supposer qu’il existe une correspondance parfaite entre l’exposition du public à une information et la quantité des données communiquées. Les hommes n’entendent que ce qu’ils attendent.

 

3.    Les individus interprètent différemment la même information Le fait d’être exposé à des informations n’est pas en soi suffisant. Les gens interpréteront les informations de manière différente, en fonction de leur attitude antérieure. Il est faux de supposer que l’exposition, une fois réalisée, conduit à une interprétation et une mémorisation uniformes de celles-ci.

 

4.  Le fait d’être informé ne modifie pas nécessairement les attitudes et encore moins les comportements. Toutes les campagnes d’information partent du principe que la diffusion d’informations modifiera les attitudes ou le comportement. Bien entendu, on trouve dans tous les domaines une quantité de données prouvant que les gens informés réagissent effectivement à un problème d’une façon différente de celle des gens non informés. Mais il serait naïf de supposer que l’information influence toujours les attitudes, ou qu’elle les influence toutes également.

 

Avant de transmettre une connaissance ou un message, il y a lieu de vérifier d’abord :

-          S’il y a manque total de connaissances sur le sujet

-          S’il y a manque partiel de connaissances

-          S’il y a des connaissances périmées

-          S’il y a des connaissances erronées

 

Pendant longtemps, l’on a cru qu’il suffisait de faire passer l’information pour que les gens modifient leur comportement en conséquence. Une deuxième erreur courante consiste à croire que les gens n’ont pas de connaissances sur un sujet donné.

Les connaissances génèrent une opinion, en quelque sorte une interprétation de la connaissance. En fonction de cette opinion, une attitude pourra se dessiner. Une opinion favorable est propice à une attitude conforme fondée sur la connaissance acquise sur le sujet.   

 

                                                                                                                 Basé sur des écrits de:  Anouar Moalla

 

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30 avril 2010 5 30 /04 /avril /2010 01:01

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par loukilimohiddinep0013travaux de réparation d'éléctricité à un coll-copie-1

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 23:50

La réunion et le travail de groupe

 

La réunion, le groupes de travail sont les moyens de communication orale favorisent les contacts, les échanges, la réflexion, la prise de décision entre les différents collaborateurs d’une firme.

 

I- Les grands types de réunion.

1- la réunion d’information :

  • objectif : faire passer une information structurée.
  • Style directif : l’information circule du sonnet vers la base, c’est à dire du responsable vers les subordonnés dans ce cas la réunion remplace la note de service.
  • Exemple : conférences, exposé, réunion de service présidée par le chef de service.

2- la réunion d’échange : ( informer, réfléchir, proposer).

  • objectif : échanger des informations (petits groupes seulement).
  • Style : non directif (les participants sur le même pied d’égalité).
  • Exemple : réunion informelles de travail entre collègues, groupe d’expression.

3- la réunion de résolution d’un problème ( informer, réfléchir, proposer, décider).

  • objectif : résoudre un problème précis en commun.
  • Style : semi-directif. Un animateur dirige l’organisation de la réunion, mais n’intervient par sur le contenu des idées. 
  • Exemple : cercle de qualité ou groupe d’innovation. 

II- la conduite des réunions :

Il est indispensable de se demander avant de programmer une réunion si elle est vraiment utile. Pourrait-elle être remplacée par autre chose ? des appels téléphoniques, une note écrite ne serait-ils pas suffisants ?

S’il s’avère que la réunion est le mode approprié, un certain nombre de principes doivent être respectés quand à la préparation, et l’animateur jouera un rôle essentiel dans le déroulement de la réunion.

1- la préparation de la réunion :

quel que soit l’objet de la réunion, son animateur est amené à :

-         noter les objectifs à atteindre et distinguer les objectifs prioritaires de ceux qui sont secondaire.

-         Dresser le liste des participants : qui constitue le public, son niveau, de connaissance du sujet, ses attentes.

-         Programmer l’organisation :

  • son contenu : les différents points à aborder. L’ordre du jour fixé par annonce dans certaines réunions ne l’est pas forcément de façon aussi stricte dans le cadre de réunion de travail.
  • Son organisation : matérielle, c’est à dire :

-         le choix du lieu (local dans l’entreprise, ou salle louée à l’extérieur par exemple).

-         La préparation des documents à diffuser en cours de réunion.

-         L’implantation du mobilier (disposition des tables, des chaises).

-         La préparation du matériel d’appui ou d’illustration (tableau, papier, rétroprojecteur, magnétoscopes, feutres…).

-         Informer les participants par une convocation précisant le lieu, la date et l’heure ainsi que le motif et l’ordre du jour.

2-le déroulement de la réunion :

-         l’animateur accueille et rappel le thème et l’objectif. Il propose et fait accepter ou impose un rythme de travail, a savoir la méthode d’analyse, le découpage en séquence, l’ordre des contenus de réflexion. Il doit s’assurer que le sujet est claire pour l’ensemble des participants.

-         L’animateur à un rôle actif. Il a pour missions :

-         De dynamiser le groupe et d’inciter ses membres à s’exprimer,

-         De proposer des méthodes de travail,

-         De pratiquer le bilan d’un travail achevé avant de passer au suivant (synthèse)

-         D’aider psychologiquement le grouper à surmonter les blocages,

-         De veiller à une progression conforme aux objectif fixés,

-         De gérer de temps.

Quelques formules utiles :

-         pour faire une proposition : « je trouve que nous devrions… »

-         pour introduire une contre proposition : « je sois d’accord mais je pense aussi.. »

-         pour commencer l’idée de quelqu’un : « l’idée de M…est excellent et je crois… »

-         pour résumer ce qui a été dit : « donc, si nous voulons résumer… »

-         pour préciser une idée par ‘’l’analogie’’ : « c’est un peu comme si… »

-         pour montrer qu’on écoute : « hm…..oui..oui… »

-          pour encourager une intervention : « qu’est ce que vous en pensez, M.B ? »

 

3- la conclusion de la réunion :

il est indispensable de faire une synthèse final. Si une décision a été prise :

-         la définir précisément :

Quoi ? (contenu).

Quoi ? (acteurs).

Comment ? (moyens).

Quand ? ( délais).

-         Prévoir le contrôle d’exécution et les critères de régulation (si une modification de la décision s’impose au cours d’exécution).

-         La synthèse doit être brève et précise, objective (neutre) et indiquer en conclusion les suites à donner : compte rendu, prochaine réunion, mise en œuvre de la décision…

-         Le style directif.

Mohiddine Loukili

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 01:53

المقاربة التشاركية في الفعل التنموي :

 بعض المبادئ و التوجيهات

 

بوحمى ربيعة

I-           الإطار العام

 

تنبثق عن الحديث عن العمل الجماعي تساؤلات عديدة مرتبطة في جوهرها بالشروط الواجب استجماعها أو استصدارها لتمكين مجموعة من الدفاع عن مصالح أعضائها من جهة وبميكانيزمات استصدار الوعي بالمصالح المشتركة المولدة للفعل الجماعي من جهة أخرى.

 

ويؤكد عالم الإجتماع الاقتصادي، الأمريكي ما نكور أو لسون في كتابة " منطق الفعل الجماعي " أنه لايكفي لأشخاص عينين أن يتقاسموا مصالح مشتركة للعمل معا " ليخلص إلى أن الفرد ( منطقيا ) ليس شديد الحرص على العمل المشترك باعتبار  الاستفادة من نتائج هذا العمل ليست مرتبطة بالمشاركة الفعلية، فإن الفرد يرنو منطقيا إلى سياسة الراكب الخفي: Passager clandestin   الذي يستفيد من استثمارات الآخرين.

 

هذه هي مفارقة الفعل الجماعي والتي تجرنا إلى الحديث والبحث عن منطق العمل الجماعي بتجاوز منطق العمل الفردي.

 

ومن هنا تظهر جليا أهمية التحفير والبحث عن آليات تعبوية تمكن من تقليص هذه المفارقة.


 

II  - بعض أوجه إشكالية المشاركة ومستوياتها

 

المشاركة هذا المصطلح الجديد، القديم الذي راجت له تفسيرات واسعة ومختلفة وإن أجمع الفرقاء على كونها أحد أهم ركائز نجاح أي فعل يتوخى التغيير سواء تعلق الأمر بتغيير المفاهيم، المواقف أو التصرفات أو بتغيير وضعية ( اقتصادية، اجتماعية )

ويعود الاختلاف في تعريف المشاركة إلى تقطتين أساسيتين   :

 

1.          مستوى أو مرحلة الإشراك
2.         تمثيلية المشرك.

 

ففي ما يتعلق بالنقطة الأولى تتحدد مستويات أو مراحل الإشراك في خمسة وهي:

 

1.     مشاركة قاصرة على فئة معينة ( ممثلين منتخلين )

2.  مشاركة يطلب فيها من الفئات المستهدفة المصادقة لإضفاء الشرعية على مشروعات حددتها وصاغتها هيئة معينة ولكن المستهدفين لا يشاركون لا في التخطيط ولا في الإدارة؛

3.   مشاركة تستشار فيها الفئات المستهفة من البداية وتتيح لها أيضا فرصة    المشاركة بصورة فعلية في التخطيط والإدارة.

4.   مشاركة تجد فيها مختلف الفئات المستهدفة مكانها في جميع آليات التخطيط، التنسيق والتقييم التي يتم وضعها على مختلف المستويات بما في ذلك أعلى مستوى لرسم السياسات؛

5.   مشاركة تتيح لكل الفئات أن تتحكم من الناحية الفعلية في القرارات وعلى جميع المستويات؛

 

وقد أبانت التجربة أن المستويين 4 و 5 لازالا شبه منعدمين كما أن المشاركة على المستوى الثالث لازالت أمرا ناذرا، أما فيما يخص تمثيلية المشرك فإن التساؤلات المطروحة مرتبطة في جوهرها بمستويات ولوج المجموعات المختلفة إلى قنوات التعبير وإبداء الرأي، خصوصا لما يتعلق الأمر بالمجموعات المقصرة (النساء، الأطفال، المعاقين، الفقراء) ومن هنا تظهر جليا أهمية إدماج مقاربة النوع إبان التشخيصات الأولية.

 

 III  - تعريف للمشاركة

 

وحتى نتمكن من الحديث عن أدوات الإشراك أو الميكانيزمات الكفيلة بتفعيل مشاركة تامة وتطوعية للفئات المستهدفة وإن أصبح هذا المصطلح محط نقاش اعتبارا أن الحديث عن المشاركة الفعلية يقتضي تغييره لأنه يحمل في طياته مقاربة تفترض وجود عنصر فاعل وعنصر متلق هو موضوع التغيير.

 

ويستحسن استبداله بمصطلح الشركاء المستفيدين. ويمكن تعريف الشركاء المستفيدين على أنهم مجموعة مجتمعية أو وحدة معرفة يتواجد أعضائها في نفس الوضعية أو في وضعيات متماثلة من حيث الموارد المتوفرة والإرهاصات التي يواجهونها من أجل الإنتاج والعيش.

 

وبالرجوع للحديث عن المشاركة وآلياتها فكثيرا ما يتم تصورها على أنها وسيلة تغيير، بينما هي في حد ذاتها أحد أوجه التغيير، لأن الإيمان بالمشاركة يقتضي   معرفة   الآخر   و الاعتراف بحقه في التأثير على صيرورة الأشياء

 

ويمكن تعريف المشاركة على أنها منظومة تواصل بين مختلف الفاعلين تساعد حاملي التغيير والفئات المجتمعية الأخرى على إيجاد نقطة التقاء لبلورة رؤيا مشتركة للتغيير سواء من حيث تصور مضمونه، برمجته، تفعيله ثم تقييم نتائجه.

أهداف المقاربة التشاركية

برزت المقاربة التشاركية كبديل قوي عندما استنفدت المقاربات التقليدية (السياسوية-الإدارية والتقنوية) طاقاتها وأبانت عن محدوديتها في حل المشكلات التنموية.

 

وتظهرأهمية المقاربة التشاركية بالمقارنة مع المقاربات الكلاسيكية من خلال:

تعيين

المقاربة الكلاسيكية

المقاربة التشاركية

تنظيم

متمركز تابت، ومنغلق

لا مركزي، ديناميكي ومنفتح

الإجراءات

تابثة، متصلبة وغامضة

مرنة، واضحة وسهلة التكييف

منظومة أخد القرار

عمودية  من أعلى إلى أسفل

صاعدة ( من أسفل إلى أعلى)

تواصل

إخبار، أوامر

حوار

العنصر البشري

منفذ

فاعل – خلاق

جمع المعلومات

الاستثمارات،  الإنسان مجرد مصدر للمعلومات

عبر اللقاء المباشر,الحوار والملاحظة

التخطيط

الرؤساء والاختصاصيين

الفئات المستهدفة وطاقات أخرى

الحلول

توجيهية , عامة وثابتة

خاصة – متفاوضة – ملائمة

الأخطاء المنهجية

غير معترف بها

مصدر تعلم وتحسين  مرد ودية

منهجية

تابثة

استنباطية، قابلة للتأقلم

الفئات المستهدفة

أحد عوائق التنمية ( الجهل، الركود، عدم الرغبة في التغيير )

فاعل في تصور  الحلول و تفعيل التغيير

 


 لذا فالمقاربة التشاركية تمكن من:

1-          إشراك المستفيدين في تحديد وتشخيص مشاكلهم الحقيقة.

  2-    مساهمة كل الأطراف الفاعلة في صياغة وإنجاز وتقييم المشاريع 

3-   استثمار ا لمعارف التقليدية

      4-  جعل المشاريع أكثر مطابقة وملائمة للواقع.

 

    V  - بعض خصائص المقاربة

 

من أهم خصائصها كونها:

 

1-    تعطي الأولوية للبعد البشري في التنمية وذلك انطلاقا من كون الإنسان فاعل في التنمية، مما يعطيه الحق في الاشتراك في السلطة واتخاذ القرار.    

2-  تحرص على استجماع الظروف الملائمة لخلق  تفاعل إيجابي بين البيئة والإنسان في إطار تدبير محكم للموارد

 

  3- لا تشجع الفعل الأحادي، وهذا لا يعني إغفال المجهود الفردي، والذي تعيره المقاربة عناية كبرى لأن الطاقة الشخصية خلاقة بطبيعتها و يجب أن تصب كرافد داخل المجهود الجماعي.    

4- اختيارية ترتكز على معيار الاقتناع: يمكن الولوج إليها ويمكن الانسحاب منها.  

6-    تكوينية: مبنية على المبادرة والانطلاق من المعارف والقدرات الذاتية متجاوزة بذلك التكوين المبني على التلقين إلى تفتيح أفاق التفكير والقرار والإنجاز الذاتي.  

  7-  مستقبلية : تأخذ بخاصيات الحاضر لاستشراف المستقبل، فرغم استحضارها للمعرفة التقليدية فهي ليست ماضوية.  

8-   تساؤلية : منفتحة تعتمد المشورة والحوار.  

9-  ديمقراطية ومواطنة : تؤمن بتبادل المنافع على أساس        تعاقد اجتماعي ينطلق من قواعد متفق عليها.

 

رغم النجاحات التي حققتها المشاريع المستوحاة من نتائج عمل تشاركي بالمقارنة مع المشاريع المبرمجة تقليديا (بطريقة عمودية) إلا أن منهجية العمل التشاكي لها أيضا سلبياتها فقد تؤدي إلى:

 

- خلق أنتظارات عند الساكنة قد تصعب الاستجابة لها حاليا,

  -  إبراز تناقضات بين أولويات الساكنة المحلية و حاملي المشاريع (إدارات, جمعيات, منظمات دولية,......)

-  إبراز أخطاء تستلزم التغيير المباشر, خصوصا لما يتعلق الأمر بأنشطة قيد الإنجاز,

-  جعل الشقاقات و النزاعات الكامنة تطفو على السطح,

 

هذا علاوة عن ارتفاع كلفتها من حيث الموارد البشرية المؤهلة و الجهد  الذين تتطلبهما

 

 

VI  - بعض آليات المشاركة

 

ترتبط آليات المشاركة في مجملها بأربعة عناصر أساسية:

 

1.             طريقة تنظيم وعمل حامل التغيير؛
2.                علاقته مع الشركاء المستفيدين
3.             العمل مع هؤلاء الشركاء

4.             العمل لأجل الشركاء.

 

 

6-1          طريقة تنظيم وعمل حامل التغيير

 

إن نقطة الانطلاق الأولى لأي حامل تغيير معين يرغب في تفعيل مبدا المشاركة هي الاقتناع بجدواها سواء تعلق الأمر بروح الديمقراطية أو بنجاعة المشروع الذي يحمله لذا فإن تنظيمه وطريقة عمله يجب أن يؤهلانه لذلك. وهذه بعض أوجه التنظيم المؤهل:

1.   تنظيم العمل في إطار مجموعات

2.   إيلاء الأهمية إلى أدوار التنسيق أكثر من أدوار القيادة.

3.            عقد شراكات

 

 6-2   علاقة حامل التغيير مع الشركاء المستفيدين.

تلعب علاقة حامل التغيير مع الشركاء المستفيدين دورا حيويا في استجماع ظروف مشاركة فعالة، وتنبني هذه العلاقة على أسس مرتبطة بتحديد هوية هؤلاء الشركاء من جهة وتحديد مجالات العمل والتعاون معها والأهداف المتوخاة منه من جهة أخرى. لذا يجب العمل على:

1.    المعرفة الدقيقة للمجموعات المكونة لفئة الشركاء المستفيدين، لأن هؤلاء لا يمثلون حتما فئة واحدة متجانسة: وتقتضي هذه المعرفة تحديد الهوية وتحديد مواصفات كل مجموعة ( اجتماعية اقتصادية، ...).

2.   اعتماد لغة ومبادئ مشاركة ويكتسي التوافق على المفاهيم أهمية خاصة في هذا المجال

3.   تحديد واضح للأهداف والانتظارات

4.   تحديد واضح للمسؤوليات والأدوار

5.   التوافق على ما سيتم تقييمه ( درجة تحقيق التغيير ووسائل التقييم ).

 

6-3  العمل مع الشركاء المستفيدين

تقتضي ميكانيزمات المشاركة أيضا وضع منهجية عمل وتعامل مع الشركاء تمكن من:

1.   إرشادهم وإقناعهم بضرورة التغيير، ففي كثير من الأحيان تعيش الفئات المقصرة أو المهشمة وضعيتها بعفوية تامة ولا تتصور لها بديلا بل تعتبرها قاعدة اجتماعية لا مفر منها لحد إعطاءها قوة القانون أحيانا.

2.   تحديد ووضع آليات لبلوغ هذه الفئات والتواصل معها

3.   تحديد العوائق التي تعيشها وحاجياتها والحلول الممكنة

4.     العمل من أجل تهيئ الشركاء المستفيدين

 

يمر تأهيل المستفيدين للعب دور الشريك الفاعل أساسا عبر تقوية قدراتهم على التواصل والمفاوضة ب:

1.   توفير معلومات دقيقة عن هؤلاء الشركاء وعن وضعيتهم الاقتصادية والاجتماعية والثقافية وأوجه التشابه والاختلاف بين فئاتهم المكونة.

2.   تحسين ولوج كل المجموعات إلى هذه المعلومات

3.   العمل على توفير التكوين المرتبط بروح التغيير المرتقب.

4.   تثمين الأشكال التقليدية والقدرات التنظيمية والتفاوضية للشركاء

تكوين أطر قادرة على أخذ أدوار ومسؤوليات ومعارف كل المجموعات بعين الاعتبار في بلورة تصور التغيير.

 VII مفهوم التنمية المحلية

 ليست التنمية منظومة فيزيائية تتفاعل فيها الإجراءات الإدارية والتقنية ورؤوس الأموال لإحداث تغيير يقيم بمردودية فيزيائية، أو مادية، لكن التنمية منظومة تغيير ديناميكية: الإنسان  ركيزتها الأساسية.

 

إنها منظومة من شأنها تمكين العنصر البشري من تحقيق تطلعاته لمستقبل أفضل تتكامل فيه كل الظروف الاجتماعية والاقتصادية والثقافية والسياسية لإنعاش دوره كفاعل ومستفيد.

هذا التعريف ينطبق أيضا وخصوصا على التنمية المحلية. هذا المفهوم، الذي برز بشدة في السنوات الأخيرة، والذي أملاه أساسا، فشل السياسات التنموية التي كانت تضع نفس الأولويات ونفس البرامج دون اعتبار الحاجيات المحلية.

 

لذا فالحديث عن التنمية المحلية يقتضي فيما يقتضيه:

1.   مراعاة إمكانات وطاقات الجهة ( طاقات محلية، إمكانية " استيراد " طاقات جديدة )

2.   تحديد الأولويات والأهداف التنموية المحلية في إطار التوجهات السياسية الكبرى.

   

و يصعب تحقيق انخراط العنصر البشري في برامج ومخططات التنمية والذي من شأنه ضمان الاستدامة دون إدماجه منذ البداية في تصور، وضع، تفعيل وتقييم هذه البرامج والمخططات مع مراعاة خاصياته الثقافية والاجتماعية والاقتصادية.

 

ولمراعاة هذه الاختلافات، انكبت الدراسات الإتنوغرافية والاجتماعية على دراستها وتحليلها بغية التوصل إلى تحديد مدى تأثيرها في صيرورة التنمية سواء سلبا أم إيجابيا.

إلا أن هذا النوع من الدراسة والتحليل يتطلب وقتا وجهدا كبيرين لا يتماشيان ومتطلبات المجتمعات التي تتغير باستمرار بفعل التفتح على العالم الخارجي من جهة و لا تستجيب لإستعجالية وضع برامج تنموية تلبي الحاجيات الآنية من جهة أخرى.

من هنا برزت المناهج التشاركية التي تعتمد الرؤية الاجتماعية والأنتروبولوجية مع مزجها بالرؤية العلمية والتقنية والاقتصادية.

 

رغم تعدد هذه المناهج والطرق إلا أن فلسفتها في العمق واحدة فهي تعتمد على عمل فرق متعددة الاختصاصات ولا تتطلب وقتا طويلا كما تعتمد أدوات بسيطة  .

VIIIأهم مراحل الدورة التشاركية

 

يمر تنظيم الدورة التشاركية بثلاث مراحل أساسية:

1.   ما  قبل التشخيص التشاركي أو المرحلة الإعدادية,

2.   مرحلة التشخيص,

3.   مرحلة المصادقة

 

1- المرحلة القبلية

يتم خلال هذه المرحلة استجماع المعلومات الضرورية عن الشركاء المستفيدين (الخاصيات الثقافية, الاجتماعية, الاقتصادية,.....) وعن الوسط الذي يعيشون و/أو ينتجون فيه ( التجهيزات الأساسية, الطبيعة, الموارد.......).

كما يتم خلالها وضع و تحديد الآليات الأولية للعمل مع الساكنة المحلية أو باقي الفرقاء قي ما يخص:

1- تحديد هدف/أهداف التشخيص التشاركي و ذلك بالإجابة عن الأسئلة التالية:

o      من نحن؟

o      ما ذا نريد؟

o      مع من سنعمل؟

o      لأجل من؟

o      ماذا يمكننا عمله؟

 

  2-وضع خطة عمل (ولو تقريبية و مؤقتة) لإجراء التشخيص و ذلك بتحديد:

o      نقطة الإنطلاق,

o      نقطة الوصول,

o      تحديد أنواع الأدوات التي ستستعمل في التشخيص,

o      توزيع الأدوار و المهام داخل المجموعة المشرفة عن التشخيص,

o      تحديد الوسائل و الموارد اللازمة لإنجاز التشخيص ( البشرية, المادية,....)

 - 2إنجاز التشخيص

]بتم إنجاز التشخيص وفقا لخطة العمل المتفق عليها وتجب مراعاة مشاركة كل الفئات المجتمعية قي عملية التشخيص ( نساء, رجال, شباب, عاطلين, ذوو الحاجيات الخاصة,.......) خصوصا الفئات المقصرة و التي كثيرا ما تواجه صعوبات للولوج إلى قنوات التعبير.

 

التشخيص التشاركي: Diagnostic participatif     

التشخيص التشاركي  هو منظومة بحث ميداني تتوخى تحديد و تحليل المشاكل التي تعانيها فئة مجتمعية معينة وكذا الحلول والبدائل التنموية التي ترتأيها في أفق إنتاج مشروع أو برنامج أو ،نشاط تنموي.

لذا فهو   يتم عبر مقاربات محفزة, سهلة التكييف, ديناميكية و مبدعة تعتمد مبادئ الشمولية, الاستدامة, الإنصاف و المساواة, ركيزتها الأساسية أن ألإنسان هو جوهر الفعل التنموي لذا فمشاركة الساكنة المحلية في صنع القرار مسألة حيوية في فلسفة هذه المقاربات

 

ويمر إنجاز التشخيص التشاركي عبر مراحل أهمها:

 

o      تحديد و توضيح أهداف الساكنة و المتدخلين الخارجيين,

o      دراسة المشاكل و المعيقات وكذا الإمكانات و المؤهلات و الموارد المتاحة أو التي يسهل استقطابها,

o      تحديد الحلول الممكنة,

o      تحديد ميكانيزمات تفعيل كل حل على حدة ,

o      ترتيب هذه الميكانزمات من الأسهل إلى الأصعب

o      تحديد حجم المعلومات و المعرفة اللازمة لتفعيل الحلول,

o      استجماع المعلومات اللازمة,

o      تحليل المعلومات,

o      اختيار البدائل,

o     

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